29 octobre 2014

La première fête des plantes, un rendez-vous réussi

Une fête des plantes et du troc, entre amateurs de jardins, était proposée samedi par la commission municipale espaces verts et fleurissement (Monique Douard, Annick Malézieux, Frédérique Friot, Christian Garreau). Celle-ci avait souhaité ajouter une manifestation, à l'automne, au programme de valorisation de l'environnement.
Sous le barnum dressé dans le beau jardin de la mairie, satisfaction du maire Florence Mauny-Uhl et des conseillers municipaux qui ont accueilli des partenaires, comme l'association Graines de troc de La Rochelle qui milite pour l'échange gratuit de graines entre amateurs et de savoir-faire. Martine Witevert, son animatrice, expliquait aux visiteurs : « Échanger librement par internet des milliers de graines, c'est faire un cadeau de biodiversité aux jardins ».
L'association Assise Orne, de la régie alençonnaise des quartiers, faisait la promotion des conteneurs à compost. La nouvelle jardinerie d'Hesloup, les Jardins d'Héliantis, et des habitants du village proposaient plants, boutures, graines et expliquaient des techniques de jardinage et de préservation de l'environnement.

25 octobre 2014

Une bourse d'échange de végétaux, aujourd'hui

La commission espaces verts et fleurissement de la nouvelle municipalité multiplie les animations. Pour la première fois, à l'initiative du conseiller municipal, Christian Garreau, une bourse d'échanges des végétaux est proposée samedi 25 octobre, de 10 h à 17 h, dans les jardins de la mairie.
Plusieurs partenaires seront présents pour soutenir cette initiative du troc qui est une forme de préservation de l'environnement, l'association Assise de l'Orne pour la promotion des silos de compostage, le Crepam de Caen, Graines de Troc, une association vendéenne... L'exposition des végétaux, boutures, se fera sous un barnum, dans les jardins de la mairie.L'exposition sera aussi l'occasion de fêter l'attribution au village girois de la première fleur des villages fleuris, une distinction qui vient récompenser les efforts d'embellissement et de préservation de l'environnement de la commune.

11 octobre 2014

Saint-Céneri et La Perrière sont homologuées

Trois questions à...
Daniel Chemin, président de l'association des Petites cités de caractère, maire de La Perrière.
Depuis la création de l'association départementale l'an dernier, combien de communes ont obtenu l'homologation ?
Les deux premières communes à avoir candidaté sont Saint-Céneri-le-Gerei et La Perrière. Elles viennent d'obtenir l'accord de l'association départementale, décision qui sera ratifiée lors de l'assemblée générale de l'association nationale en décembre. Et il y a quatre autres communes candidates. Écouché et Le Sap que nous avons visitées jeudi ; et Bellême et Sées où nous irons la semaine prochaine. Nous procéderons au choix lors de l'assemblée générale départementale fin novembre. Trois options sont possibles : elles obtiennent l'homologation ; elles sont homologables, c'est-à-dire qu'elles doivent faire des efforts sur certains critères pour postuler à nouveau ; c'est un refus, car elles ne rentrent pas dans les conditions pour décrocher la marque.
Quels sont justement les critères pour devenir Petites cités de caractère ?
Les communes ne doivent pas dépasser 6 000 habitants. Elles doivent posséder un patrimoine architectural de qualité qui fait l'objet d'une politique de préservation. Les critères objectifs pour mesurer cette politique sont par exemple l'existence d'un secteur sauvegardé ou d'une ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager). Les animations ou le développement touristique mis en place comptent également.
Quel est l'intérêt pour une commune de décrocher cette marque ?
C'est un outil de développement touristique et de communication. L'un des intérêts majeurs est de faire partie d'un réseau. Cela permet aussi de créer des circuits touristiques, de faciliter l'attribution de certaines subventions, ou d'en majorer d'autres.
Daniel Chemin, président de l'association des Petites cités de caractère, maire de La Perrière.
Depuis la création de l'association départementale l'an dernier, combien de communes ont obtenu l'homologation ?
Les deux premières communes à avoir candidaté sont Saint-Céneri-le-Gerei-le-Gerei et La Perrière. Elles viennent d'obtenir l'accord de l'association départementale, décision qui sera ratifiée lors de l'assemblée générale de l'association nationale en décembre. Et il y a quatre autres communes candidates. Écouché et Le Sap que nous avons visitées jeudi ; et Bellême et Sées où nous irons la semaine prochaine. Nous procéderons au choix lors de l'assemblée générale départementale fin novembre. Trois options sont possibles : elles obtiennent l'homologation ; elles sont homologables, c'est-à-dire qu'elles doivent faire des efforts sur certains critères pour postuler à nouveau ; c'est un refus, car elles ne rentrent pas dans les conditions pour décrocher la marque.
Quels sont justement les critères pour devenir Petites cités de caractère ?
Les communes ne doivent pas dépasser 6 000 habitants. Elles doivent posséder un patrimoine architectural de qualité qui fait l'objet d'une politique de préservation. Les critères objectifs pour mesurer cette politique sont par exemple l'existence d'un secteur sauvegardé ou d'une ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager). Les animations ou le développement touristique mis en place comptent également.
Quel est l'intérêt pour une commune de décrocher cette marque ?
C'est un outil de développement touristique et de communication. L'un des intérêts majeurs est de faire partie d'un réseau. Cela permet aussi de créer des circuits touristiques, de faciliter l'attribution de certaines subventions, ou d'en majorer d'autres.