Une fête des plantes
et du troc, entre amateurs de jardins, était proposée samedi par la
commission municipale espaces verts et fleurissement (Monique Douard,
Annick Malézieux, Frédérique Friot, Christian Garreau). Celle-ci avait
souhaité ajouter une manifestation, à l'automne, au programme de
valorisation de l'environnement.
Sous le
barnum dressé dans le beau jardin de la mairie, satisfaction du maire
Florence Mauny-Uhl et des conseillers municipaux qui ont accueilli des
partenaires, comme l'association Graines de troc de La Rochelle qui
milite pour l'échange gratuit de graines entre amateurs et de
savoir-faire. Martine Witevert, son animatrice, expliquait aux visiteurs
: « Échanger librement par internet des milliers de graines, c'est faire un cadeau de biodiversité aux jardins ».
L'association
Assise Orne, de la régie alençonnaise des quartiers, faisait la
promotion des conteneurs à compost. La nouvelle jardinerie d'Hesloup,
les Jardins d'Héliantis, et des habitants du village proposaient plants,
boutures, graines et expliquaient des techniques de jardinage et de
préservation de l'environnement.
Retrouvez ici un lieu d'échange, les communications, les évènements, les revues de presse et les actualités de la commune de Saint Céneri le Gérei.
29 octobre 2014
25 octobre 2014
Une bourse d'échange de végétaux, aujourd'hui
La commission
espaces verts et fleurissement de la nouvelle municipalité multiplie les
animations. Pour la première fois, à l'initiative du conseiller
municipal, Christian Garreau, une bourse d'échanges des végétaux est
proposée samedi 25 octobre, de 10 h à 17 h, dans les jardins de la
mairie.
Plusieurs partenaires seront présents pour soutenir cette initiative du troc qui est une forme de préservation de l'environnement, l'association Assise de l'Orne pour la promotion des silos de compostage, le Crepam de Caen, Graines de Troc, une association vendéenne... L'exposition des végétaux, boutures, se fera sous un barnum, dans les jardins de la mairie.L'exposition sera aussi l'occasion de fêter l'attribution au village girois de la première fleur des villages fleuris, une distinction qui vient récompenser les efforts d'embellissement et de préservation de l'environnement de la commune.
Plusieurs partenaires seront présents pour soutenir cette initiative du troc qui est une forme de préservation de l'environnement, l'association Assise de l'Orne pour la promotion des silos de compostage, le Crepam de Caen, Graines de Troc, une association vendéenne... L'exposition des végétaux, boutures, se fera sous un barnum, dans les jardins de la mairie.L'exposition sera aussi l'occasion de fêter l'attribution au village girois de la première fleur des villages fleuris, une distinction qui vient récompenser les efforts d'embellissement et de préservation de l'environnement de la commune.
11 octobre 2014
Saint-Céneri et La Perrière sont homologuées
Trois questions à...
Daniel Chemin, président de l'association des Petites cités de caractère, maire de La Perrière.
Depuis la création de l'association départementale l'an dernier, combien de communes ont obtenu l'homologation ?
Les deux premières communes à avoir candidaté sont Saint-Céneri-le-Gerei et La Perrière. Elles viennent d'obtenir l'accord de l'association départementale, décision qui sera ratifiée lors de l'assemblée générale de l'association nationale en décembre. Et il y a quatre autres communes candidates. Écouché et Le Sap que nous avons visitées jeudi ; et Bellême et Sées où nous irons la semaine prochaine. Nous procéderons au choix lors de l'assemblée générale départementale fin novembre. Trois options sont possibles : elles obtiennent l'homologation ; elles sont homologables, c'est-à-dire qu'elles doivent faire des efforts sur certains critères pour postuler à nouveau ; c'est un refus, car elles ne rentrent pas dans les conditions pour décrocher la marque.
Quels sont justement les critères pour devenir Petites cités de caractère ?
Les communes ne doivent pas dépasser 6 000 habitants. Elles doivent posséder un patrimoine architectural de qualité qui fait l'objet d'une politique de préservation. Les critères objectifs pour mesurer cette politique sont par exemple l'existence d'un secteur sauvegardé ou d'une ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager). Les animations ou le développement touristique mis en place comptent également.
Quel est l'intérêt pour une commune de décrocher cette marque ?
C'est un outil de développement touristique et de communication. L'un des intérêts majeurs est de faire partie d'un réseau. Cela permet aussi de créer des circuits touristiques, de faciliter l'attribution de certaines subventions, ou d'en majorer d'autres.
Daniel Chemin, président de l'association des Petites cités de caractère, maire de La Perrière.
Depuis la création de l'association départementale l'an dernier, combien de communes ont obtenu l'homologation ?
Les deux premières communes à avoir candidaté sont Saint-Céneri-le-Gerei-le-Gerei et La Perrière. Elles viennent d'obtenir l'accord de l'association départementale, décision qui sera ratifiée lors de l'assemblée générale de l'association nationale en décembre. Et il y a quatre autres communes candidates. Écouché et Le Sap que nous avons visitées jeudi ; et Bellême et Sées où nous irons la semaine prochaine. Nous procéderons au choix lors de l'assemblée générale départementale fin novembre. Trois options sont possibles : elles obtiennent l'homologation ; elles sont homologables, c'est-à-dire qu'elles doivent faire des efforts sur certains critères pour postuler à nouveau ; c'est un refus, car elles ne rentrent pas dans les conditions pour décrocher la marque.
Quels sont justement les critères pour devenir Petites cités de caractère ?
Les communes ne doivent pas dépasser 6 000 habitants. Elles doivent posséder un patrimoine architectural de qualité qui fait l'objet d'une politique de préservation. Les critères objectifs pour mesurer cette politique sont par exemple l'existence d'un secteur sauvegardé ou d'une ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager). Les animations ou le développement touristique mis en place comptent également.
Quel est l'intérêt pour une commune de décrocher cette marque ?
C'est un outil de développement touristique et de communication. L'un des intérêts majeurs est de faire partie d'un réseau. Cela permet aussi de créer des circuits touristiques, de faciliter l'attribution de certaines subventions, ou d'en majorer d'autres.
Daniel Chemin, président de l'association des Petites cités de caractère, maire de La Perrière.
Depuis la création de l'association départementale l'an dernier, combien de communes ont obtenu l'homologation ?
Les deux premières communes à avoir candidaté sont Saint-Céneri-le-Gerei et La Perrière. Elles viennent d'obtenir l'accord de l'association départementale, décision qui sera ratifiée lors de l'assemblée générale de l'association nationale en décembre. Et il y a quatre autres communes candidates. Écouché et Le Sap que nous avons visitées jeudi ; et Bellême et Sées où nous irons la semaine prochaine. Nous procéderons au choix lors de l'assemblée générale départementale fin novembre. Trois options sont possibles : elles obtiennent l'homologation ; elles sont homologables, c'est-à-dire qu'elles doivent faire des efforts sur certains critères pour postuler à nouveau ; c'est un refus, car elles ne rentrent pas dans les conditions pour décrocher la marque.
Quels sont justement les critères pour devenir Petites cités de caractère ?
Les communes ne doivent pas dépasser 6 000 habitants. Elles doivent posséder un patrimoine architectural de qualité qui fait l'objet d'une politique de préservation. Les critères objectifs pour mesurer cette politique sont par exemple l'existence d'un secteur sauvegardé ou d'une ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager). Les animations ou le développement touristique mis en place comptent également.
Quel est l'intérêt pour une commune de décrocher cette marque ?
C'est un outil de développement touristique et de communication. L'un des intérêts majeurs est de faire partie d'un réseau. Cela permet aussi de créer des circuits touristiques, de faciliter l'attribution de certaines subventions, ou d'en majorer d'autres.
Daniel Chemin, président de l'association des Petites cités de caractère, maire de La Perrière.
Depuis la création de l'association départementale l'an dernier, combien de communes ont obtenu l'homologation ?
Les deux premières communes à avoir candidaté sont Saint-Céneri-le-Gerei-le-Gerei et La Perrière. Elles viennent d'obtenir l'accord de l'association départementale, décision qui sera ratifiée lors de l'assemblée générale de l'association nationale en décembre. Et il y a quatre autres communes candidates. Écouché et Le Sap que nous avons visitées jeudi ; et Bellême et Sées où nous irons la semaine prochaine. Nous procéderons au choix lors de l'assemblée générale départementale fin novembre. Trois options sont possibles : elles obtiennent l'homologation ; elles sont homologables, c'est-à-dire qu'elles doivent faire des efforts sur certains critères pour postuler à nouveau ; c'est un refus, car elles ne rentrent pas dans les conditions pour décrocher la marque.
Quels sont justement les critères pour devenir Petites cités de caractère ?
Les communes ne doivent pas dépasser 6 000 habitants. Elles doivent posséder un patrimoine architectural de qualité qui fait l'objet d'une politique de préservation. Les critères objectifs pour mesurer cette politique sont par exemple l'existence d'un secteur sauvegardé ou d'une ZPPAUP (Zone de protection du patrimoine architectural, urbain et paysager). Les animations ou le développement touristique mis en place comptent également.
Quel est l'intérêt pour une commune de décrocher cette marque ?
C'est un outil de développement touristique et de communication. L'un des intérêts majeurs est de faire partie d'un réseau. Cela permet aussi de créer des circuits touristiques, de faciliter l'attribution de certaines subventions, ou d'en majorer d'autres.
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