Améliorer la sécurité sur le parcours de la Vélobuissonnière

Parcourir 250 km à vélo hors des sentiers battus, en partant d’Alençon dans l’Orne ? C’est ce que propose l’itinéraire de la Vélobuissonnière. Au départ de la place de la Magdeleine, ce tracé cyclable invite à prendre des petites routes au milieu de villages, de rouler à travers les bourgs, mais aussi de traverser la campagne ou de longer la Sarthe, pour rejoindre Saumur, en pays de la Loire. La première partie de l’itinéraire traverse Saint-Céneri-Le-Gérei, Saint-Léonard-des-Bois, Fresnay-sur-Sarthe, Beaumont-sur-Sarthe… Un départ peu sécuritaire Un parcours qui commence quelque peu dangereusement, car il nécessite d’emprunter le rond-point débouchant sur la D955 à la sortie de la ville. Palier à ce problème et réfléchir à un itinéraire plus sécuritaire est une des priorité de la Vélobuissonnière. Dans cet objectif, mais également pour promouvoir ce parcours, un comité composé de 13 acteurs, dont l’Office de tourisme de la Communauté Urbaine d’Alençon, a pris forme début mars. « Deux options sont étudiées actuellement pour sécuriser davantage le départ sur Alençon », confie Vincent Lucas, directeur de l’office de tourisme d’Alençon. « C’est un projet en cours, nous n’en privilégions pour l’instant pas l’une plus que l’autre ». Une aventure entre amis La voie cyclable ne représente que 38 km de cet itinéraire. À l’inverse de la voie verte, il se réalise donc majoritairement sur route (207 km). Vidéos : en ce moment sur Actu Pour ces raisons, Vincent Lucas admet : « C’est un parcours un peu difficile. Nous le déconseillons aux familles avec des enfants de moins de quatorze ans ». Une aventure davantage destinée, donc, aux groupes d’amis ou aux couples. Laëtitia, qui a réalisé les 250 km à l’automne dernier, avec quatre amis, en garde un agréable souvenir. « On assiste à beaucoup de changements de paysages et d’ambiances », témoigne celle qui a passé la première nuit du parcours dans « un petit hôtel à Saint-Léonard des Bois. Nous avons quelques soucis techniques, mais heureusement nous avons pu trouver des vélos-cyclistes dans les petites villes ». La Vélobuissonnière longe la Sarthe. « Il n’y a jamais 50 km sans rien », affirme Vincent Lucas. Prochainement, grâce au comité, une « densification l’offre de services touristiques » sera mise en œuvre « pour répondre aux besoins des clientèles ». Le comité a notamment pour but renforcer la qualité des infrastructures et des équipements. « C’est un itinéraire tout jeune, donc des aires de services pour les cyclistes doivent encore être mises en place », explique le directeur de l’Office de tourisme. S’adapter aux usagers Ce tracé permet de relier d’autres itinéraires : La Loire à vélo au Sud et la Véloscénie, au Nord, « condition nécessaire pour être reconnu au niveau national par l’association France Vélo Tourisme », explique Vincent Lucas. « Après Saumur, nous avons roulé deux jours sur La Loire à Vélo pour rejoindre Tours », se remémore Laëtitia. « Puis nous avons pris le train, où se trouvent des emplacements réservés aux vélos, pour remonter ». Le réseau TER est en partie l’un des axes exploité par le comité de la Vélobuissonnière, qui entend « représenter toutes les collectivités dans le tracé, en proposant un itinéraire plus grand, en s’appuyant sur la voie ferroviaire ». Faire connaître la Vélobuissonnière Animé par Sarthe Tourisme, ce comité vise à « accroître la renommée du parcours ». « La campagne de communication sur les réseaux sociaux a bien fonctionné », se félicite Vincent Lucas, qui, pour l’heure, n’est pas en mesure de donner des chiffres quant à la fréquentation de l’itinéraire. Auparavant connu sous l’appellation V44, la Vélobuissonnière a été renommée il y a deux ans, afin de commencer à promouvoir l’itinéraire.

Les Rencontres font leur retour à la Pentecôte

Les Amis de Saint-Céneri ont présenté leurs projets avec un retour à la formule traditionnelle des Rencontres, organisées les 4, 5 et 6 juin. Le bureau des Amis de Saint-Céneri, autour du président, Marc Chatain, a présenté son programme. Devant de nombreux participants, samedi, Marc Chatain, président de l’association les Amis de Saint-Céneri, a présenté le programme de l’année. Les Rencontres seront organisées du 4 au 6 juin, à la Pentecôte. Les artistes retenus par le comité de sélection seront présentés en continu, dans les belles demeures giroises, ateliers et jardins avec, à l’étude, un artiste en résidence. Des ateliers pour enfants sont prévus. Le programme est en cours de préparation. Trois expositions de peintres sont programmées : Annie Lunardi revient, du 11 juin au 12 juillet ; Mélanie Casano, pour Arts en cité, sera présentée du 16 juillet au 25 septembre ; Olivier De Rivaz, ancien premier prix du jury, exposera de 20 août au 17 septembre. Retour à la normale Enfin, les Rencontres des Amis et Girois se dérouleront les 24 et 25 septembre. D’autres manifestations sont à l’étude. « Nous revenons à une programmation normale, il faudra mobiliser les bénévoles pour la sécurité et l’organisation », conclut le président. Cette rencontre était également l’occasion de dresser le bilan d’une saison 2021 « perturbée par les mesures sanitaires ». L’exposition New York, Chicago, souvenirs des villes, souvenirs d’amours du photographe manceau Jean-François Mollière, a vu défiler 194 visiteurs. Les Rencontres de la Pentecôte ont dû être décalées en juillet, avec une formule expérimentale : « La fréquentation a été moindre et les ventes aléatoires. La formule ne sera pas reconduite. » Les Amis ont pu rendre un bel hommage à Michel Froger, l’artiste alençonnais, du 28 août au 30 septembre, avec l’association De Visu et une exposition parallèle à la médiathèque d’Alençon. 243 visiteurs ont été ravis de parcourir l’univers symbolique de l’artiste disparu. À la Chapelle du pré, l’artiste Do’Halden a présenté ses œuvres dans le cadre d’Arts en cité avec le Fonds départemental d’art contemporain. Enfin, les Rencontres des Amis et Girois ont eu lieu les 2 et 3 octobre, en partenariat avec l’association Saint Scène, qui a proposé un concert. « La diversification de l’offre artistique s’est poursuivie et les partenariats ont bien fonctionné », ajoute le président.

L’association Saint Scène prépare son festival de jazz, les 2 et 3 juillet

L’assemblée générale de l’association culturelle a permis de finaliser l’organisation du festival de musique, les 2 et 3 juillet, dans le pré de la chapelle, à Saint-Céneri-le-Gérei (près d’Alençon, Orne). Le Back Beat Brass Band donnera un concert dans le pré de la chapelle, samedi 2 juillet. « Pendant deux ans, il était impossible de programmer et de financer la venue de groupes musicaux pour un festival sur deux jours », rappelle Marc Puech, président de l’association Saint Scène (Saint-Céneri-le-Gérei, près d’Alençon, Orne), qui n’avait pu organiser, l’an dernier, qu’une dégustation d’huîtres et deux concerts, en octobre. « Nous espérons retrouver nos objectifs de promotion des musiques du monde, jazz, blues et rock folk, lors du festival, en juillet », ajoute-t-il, en saluant le soutien des collectivités dont a bénéficié l’association pendant la crise sanitaire. L’événement se déroule dans le cadre champêtre du pré de la chapelle, en bordure de Sarthe, samedi 2 juillet, et dimanche 3 juillet, sur le terrain communal en bordure du parking. Au programme de l’événement Samedi, à partir de 19 h, seront accueillis le Back Beat Brass Band, le quartet Canto (jazz vocal brésilien), le Hop Hop Hop Crew (musique des Balkans à la croisée du jazz et du rock). Dimanche, à partir de 13 h, se produiront le quartet Urdno jazz et blues, ainsi que le duo de chanson française Gianna M et, pour finir, le groupe March Mallow (jazz vocal traditionnel). Un programme varié qui devrait ravir les mélomanes. Dimanche 1er mai, l’association organise une sardinade avec guinguette. « Nos moyens financiers sont limités. Cette manifestation permet de sécuriser notre budget prévisionnel. C’est aussi l’occasion de se rencontrer, d’échanger et de préparer le festival », précise le président. Saint Scène s’associera également aux Amis de Saint-Céneri pour la rencontre des peintres girois, fin septembre. Un concert en cours de préparation sera organisé en octobre, en l’église de Saint-Céneri. Dimanche 1 er mai, sardinade avec guinguette, réservation obligatoire par mail à saintscene@gmail.com. Samedi 2 et dimanche 3 juillet, Saint Scène festival. Tarifs : passe deux jours, 20 € ; samedi, 15 € ; dimanche, 10 €. Plus d’informations sur www.saintscene.fr

Une collecte de 687 € pour la restauration de Notre-Dame de Paris

Le 15 avril 2019, l’incendie de Notre-Dame de Paris fut un choc pour les amoureux du patrimoine. Les initiatives se sont multipliées pour aider à la restauration. L’équipe pastorale giroise, autour de Monique, Bernard Le Royer, Dominique Hébert, prenait l’initiative, en juin 2021, de lancer une collecte de fonds dans la belle église romane, classée monument historique, propriété du Département, une église très fréquentée par les visiteurs d’un des Plus beaux villages de France. Le Département a assuré l’information avec une superbe affiche, un collage du peintre girois Koura. Mercredi 6 avril, Bernard Le Royer relevait le tronc de recueil des dons et mettait en rouleaux les pièces de monnaie : « C’était une modeste opération pour contribuer à la préservation du patrimoine national. La collecte de 687 € sera envoyée à la Fondation du patrimoine de Notre-Dame qui décidera de son utilisation pour la reconstruction ou les aménagements. » Il est toujours possible de participer en adressant des chèques au titre de la Fondation du patrimoine, à Bernard Le Royer, Le Bourg, 61250 Saint-Céneri-le-Gérei. Tél. 02 33 26 62 54.

Dans l’un des Plus beaux villages de France et aussi Cité de caractère, la centaine d’irréductibles Girois aime embellir le village.

Mercredi 6 avril 2022, comme chaque premier mercredi du mois, une dizaine de « Drôles de dames » se retrouvent pour fleurir Saint-Céneri-le-Gerei (Orne), entretenir les espaces verts et fleuris. « Une participation solidaire indispensable pour maintenir le niveau exigé pour le label des deux fleurs. La commune ne dispose que d’un seul agent municipal, Denis Manson, déjà très sollicité », explique Arsène Guilmeau, premier adjoint chargé des travaux. Ce mercredi, ces drôles de dames s’activaient sur un parterre fleuri, à l’entrée de la nouvelle aire de stationnement des camping-cars en bord de Sarthe. Un travail tout au long de l’année « Deux fois par an, nous allons choisir 400 plants auprès du service des espaces verts de la Communauté urbaine d’Alençon (CUA). Cette année, nous avons embelli l’entrée de la salle communale et du gîte de la mairie et maintenant, ce parterre devant l’aire de séjour des camping-cars qui seront très nombreux avec la saison touristique », détaillent Virginie Le Bossé, Annick Malézieux, Fiona Forêt qui complètent le parterre avec des vivaces, sous l’œil attentif d’Arsène Guilmeau. L’équipe bénéficie de l’aide et des conseils de Frédérique, Liliane, Monique, Marie Agnès et de Michèle Manson, des Jardins de la Mansonière, « nos rencontres sont toujours des moments d’échanges et de convivialité qui se terminent par un goûter partagé ». Un concours de fleurissement Soucieuses d’associer toutes les bonnes volontés, « nous recherchons encore d’autres bénévoles », ces dames organisent un concours de la plus belle jardinière ou du plus beau parterre, avec un thème, la gourmandise. Toutes les dimensions de jardinières ou de parterres, visibles de l’extérieur ou non, sont acceptées. Des accessoires en lien avec le thème sont possibles. Le comité de fleurissement passera fin juin pour réaliser une photographie représentative. Un jury d’habitants et d’élus établira le palmarès dont les résultats secrets seront donnés lors des vœux du maire, en janvier. Les trois finalistes recevront des lots de plants des Jardins de la Mansonière. L’équipe ajoute des actions de promotion du compostage puisqu’Annick Malézieux et Fiona Forêt, se sont formées pour devenir maîtresses en compostage, « la CUA propose à la vente des composteurs ». Les Drôles de Dames », Virginie Le Bossé (vlebosse@ la poste.net). Mairie, tél. 02 33 26 60 00. Site, www.saintceneri.org

L’ancien camping stabilisé et réaménagé

« Nous avons remblayé, relevé le niveau et stabilisé le terrain avec quatre camions de graviers. Cela permet les manœuvres des camping-cars, y compris l’hiver. » Arsène Guilmeau, adjoint aux travaux, était très heureux, mercredi, de présenter les aménagements de l’espace de l’ancien camping, pour pouvoir accueillir les camping-cars qui encombraient le parking municipal en centre bourg. « En 2021, malgré la pandémie, nous avons comptabilisé 915 camping-cars, avec une moyenne de cinq camping-cars par jour. Le pic de fréquentation a été atteint avec vingt véhicules, le 14 juillet. » Un panneau d’information Avec l’aide de Patrick Boissot, un bénévole bricoleur, Arsène Guilmeau a fabriqué un très solide et esthétique panneau d’information en bois massif, implanté à l’entrée, avec le tarif (5 € la nuitée) et un plan des ressources touristiques, pour renseigner les nouveaux arrivants. « Chaque soir, deux conseillers bénévoles passent pour encaisser le droit d’entrée et renseigner les visiteurs. » La municipalité a complété l’équipement avec un espace de propreté et des conteneurs à déchets ménagers enterrés. « L’agent municipal n’a plus à gérer les incivilités, c’est un gain de temps appréciable. » De plus, l’ancien bâtiment du camping a été rénové et aménagé pour servir de local à l’AAPPMA des pêcheurs de Saint-Céneri : « il sert pour le rangement des matériels et de lieu de rencontre pour les pêcheurs, qui ont le choix pour pêcher la truite sur le parcours du Sarthon ou des poissons blancs et carnassiers sur la Sarthe, le camping se trouvant au confluent de ces deux cours d’eau. » Arsène Guilmeau a aussi admiré le travail du groupe des Drôles de Dames, d’autres bénévoles, qui embellissaient l’accès en plantant fleurs et arbustes.

Saint-Céneri-le-Gérei. Les Jardins de la Mansonière seront prêts le 15 avril

Les jardins de Michèle et Philippe Manson proposent depuis 2002, un jardin d’exception. Avec une équipe remaniée, ils préparent l’ouverture au public, vendredi 15 avril. Philippe Pontiac, Philippe Manson, Amélie Leprince, Michèle Manson, de gauche à droite, préparent activement l’ouverture des Jardins, le 15 avril.

Sur le terrain et le corps de ferme du XIXe siècle, acquis en 1986, Michèle et Philippe Manson ont créé, avec passion, un jardin d’atmosphère, sur la colline qui domine la Sarthe. Au fil des ans, ils proposent au public à partir de 2002, une promenade sereine sur une quinzaine d’espaces aux noms révélateurs de leurs objectifs, des jardins, solaire, lunaire, des senteurs, la tour d’ivoire, la chambre verte, la cour carrée, la clairière, le potager et une superbe roseraie… Ils ajoutent un vaste terrain de 4 500 m² qu'ils travaillent avec ardeur, avec de nombreuses plantations, un espace qui sera ouvert exceptionnellement en juin. « Il faudra encore plusieurs années pour trouver la plénitude du potentiel. » Avant le Covid, chaque année, les Jardins recevaient 5 000 visiteurs en moyenne dont 20 % d’étrangers. « Nous avons reçu seulement 2 500 visiteurs en 2021 mais nous constatons un frémissement, des réservations de groupes, avec ce désir de nature provoqué par le confinement. Nous préparons activement l’ouverture du 15 avril », assurent les propriétaires. Chaque année, en hiver, Michèle et Philippe Manson prennent leur bâton de pèlerin pour rechercher des pépinières en Belgique, en Bretagne, proposant des plants d’exception. Avec une équipe remaniée, ils nettoient, soignent, plantent, enrichissent et améliorent la quinzaine d’espaces. Dans la nouvelle parcelle, ils plantent de nombreux arbres à écorce remarquable, des pommiers d’ornement, arbustes et vivaces. Six tonnes de gravier noir ont été déposées pour améliorer la circulation et accentuer les contrastes de couleurs. Les Jardins de la Mansonière de Michèle et Philippe Manson. Saint-Céneri-le-Gérei. Tél : 02 33 26 73 24. E-mail : mansoniere@wanadoo.fr. Site : www.mansoniere.fr Ouverture, vendredi 15 avril, à 14 h. Du 15 avril au 31 mai, vendredis, samedis, dimanches et jours fériés de 14 h 30 à 18 h 30. Du 1er juin au 31 août, du jeudi au dimanche de 14 h 30 à 18 h 30. Du 1er au 11 septembre, les samedis et dimanches, de 14 h 30 à 18 h 30. Entrée des Jardins, 7 € ( 3 € pour les enfants de 3 à 12 ans ). Parking gratuit.Les jardins de Michèle et Philippe Manson proposent depuis 2002, un jardin d’exception. Avec une équipe remaniée, ils préparent l’ouverture au public, vendredi 15 avril.

La Mansonière à Saint-Céneri-le-Gérei. Le programme de la saisonSaint-Céneri-le-Gérei.

Les manifestations Dimanche 29 mai, pour la fête des Mères, De roses endimanchées, grande vente de rosiers. Accès gratuit. Samedi 4, dimanche 5 juin, rendez-vous aux jardins, manifestation nationale, Les jardins face au changement climatique, ouverture exceptionnelle du nouvel espace de 5 000 m². Exposition Hortus Animali, de Joëlle Vanhoudenhove. Dimanche 3 juillet : Matières et parterres, avec une dizaine d’artisans, créateurs d’objets liés aux jardins et à la nature. Dimanche 11 septembre : Aquarelles aux champs, avec plusieurs aquarellistes qui animeront des ateliers. Samedi 30 avril, dimanche 5 juin : atelier d’écriture avec Céline Bourgoin. 13 €. Réservation au 06 60 85 58 95. Expositions Du 15 avril au 26 juin : De fil et d’eau, de Joëlle Vanhoudenhove. Du 1er juillet au 31 juillet : Magie zen, peintures de Jean-Jacques Champeau. Du 4 août au 11 septembre : Chemins de lumière, aquarelles d’Isabelle Nicolas-Maignan. Nocturnes de musique, dans les Jardins illuminés de 1000 bougies Samedi 30 juillet, ensemble Euterpia, violon, violoncelle et alto, une soprano, une alto. Samedi 27 août : soirée avec le Trio Sérénade, alto, flûte et guitare.